Fort de ses 25 années d’engagement et de confiance au service de ses clients, le groupe ADIT se positionne comme leader européen de l’intelligence stratégique. L’ADIT a pour mission essentielle de « dérisquer » les projets à l’international et de réduire l’incertitude inhérente à toute stratégie de croissance du business.
Le fonds Parquest Capital succède à Weinberg Capital Partners en tant qu’actionnaire majoritaire de l’ADIT. Bpifrance demeure un actionnaire de référence aux côtés de Amundi Private Equity Fund (PEF). L’Etat conserve son action de préférence.
Le groupe ADIT consolide sa position de leader européen de l’intelligence stratégique, du management des risques et de la diplomatie d’affaires en acquérant le groupe GEOS, référence auprès des grands groupes français dans l’accompagnement et le développement de leurs activités en zones sensibles.
Dans la continuité de la privatisation (en 2011) puis de l’entrée de Bpifrance à ses côtés (en 2015), l’Etat cède ses titres à Bpifrance, qui devient ainsi l’actionnaire public de référence de l’ADIT avec 34% du capital du groupe.
En 2018, l’Etat a décidé de conserver une participation stratégique au niveau de l’ADIT, en bénéficiant d’une action de préférence lui donnant sans limite de temps un droit d’agrément sur l’identité des prochains actionnaires de l’ADIT.
L’ADIT crée avec le MEDEF Internationnal le Centre Français des Affaires de Téhéran (CFAT).
Le fonds d’investissement Weinberg Capital Partners rachète les titres détenus par Butler Capital Partners et détient donc 66 % du capital de l’ADIT. Par ailleurs, BPI France rentre au capital de l’ADIT à hauteur de 24 % aux côtés de l’Etat qui conserve 10% du capital.
Elle est à l’initiative de la création de l’Alliance Européenne d’Intelligence Stratégique qui rassemble 10 cabinets européens d’intelligence économique. La même année, elle crée une filiale, Entreprise & Diplomatie, dédiée à la diplomatie d’affaires et dirigée par l’Ambassadeur Bruno Delaye.
Le fonds d’investissement Butler Capital Partners entre au capital de l’ADIT à hauteur de 66 %, aux côtés de l’État qui conserve 34 % du capital.
Elle crée le Centre français des affaires de Bagdad en vue de faciliter et de sécuriser le retour des entreprises françaises en Irak. La même année, la Ministre de l’Économie, de l’Industrie et de l’Emploi décide de procéder à la cession d’une fraction majoritaire, jusqu’à 66 % du capital, de la participation de l’État.
L’ADIT est pionnière en France en créant une équipe dédiée en matière d’e-reputation et d’e-influence au sein même de l’activité intelligence stratégique.
L’ADIT crée un pôle autonome plus spécifiquement chargé d’intelligence économique et stratégique à destination des grandes entreprises françaises. Suite au décret du 19 décembre 2001 autorisant la privatisation de l’ADIT, elle est transformée en 2003 en société anonyme, entrant à cette date dans le portefeuille de l’Agence des participations de l’État.
Elle assure le secrétariat exécutif du Comité pour la compétitivité et la sécurité économique (installé par le Premier ministre) et participe, depuis 1998, à la mise en œuvre du Plan d’action gouvernementale pour la société de l’information.
Depuis sa création en 1993, l’ADIT contribue à la mise en œuvre d’une politique nationale d’intelligence économique et stratégique ; elle développe une activité de collecte, de synthèse et de diffusion d’informations recueillies par le réseau des attachés scientifiques des ambassades françaises à l’étranger et participe en parallèle au développement de pôles d’intelligence économique dans le tissu industriel français.